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Alors avant de vous présenter mes textes, je voudrais vous dire ... Bonjour Nan sérieusement, je vais vous décrire un peu mon style. Je suis pas très douée en écriture, peut être plus que mes collègues de 6ème mais je n'écrit pas encore "correctement". Ne vous étonnez pas des répétitions, du manque de point, ou même des fautes d'orthographe. Je travail essentiellement sur les livres d'affaire crimimele ou d'histoire assez .. nostalgique on peut dire. Mais tout dépend de mon humeur du jour J'écrit quand je m'ennuie, ou quand je n'ai rien à faire. Je le retape à l'ordi et j'améliore mon texte. Le plus souvent c'est le week end vers 2h du mat' ou en permanence à 17h



En ce moment j'écris un roman. Oui oui oui Je l'ai commencé il y a à un peu près 1 mois, et même si ce n'est qu'un début, j'aime bien. Le titre pour le moment est JTR. Qui sait ce que ça veut dire ? Jack the Ripper bien sûr ! Toujours pas ? Jack l'éventreur xD. C'est assez étrange comme titre pour un roman, mais je précise que c'est une affaire crimimel. Ca s'éclaire un peu ? Bon, pour vous faire un rapide résumé :

Kristen Brow est un agent du FBI comme tout ses collègues. Pourtant, par un hasard sordide, elle est contaminé par un virus. Ce "virus" la transforme en JTR. Car il n'y a pas un seul Jack, mais une bonne centaine. La plupart n'ont pas réussi à survivre, et le seul qui soit connu est l'assassin de Londre, vers la fin du 19e siècle. Un savant a réussi a enfermer le virus, mais il s'est échappé, et a cherché pendant une dizaine d'année celui ou celle qui prendra la relève ...

Pas terrible le résumé. Le texte est mieux heureusement

Bonne visite ^^

[x] - Jack The Ripper - [x]

Epilogue

La lune apparut quelques instants pour éclairer de ses pâles rayons argentés Hope Street, et s'arrêta sur le n°7. C'était, à première vue, un ancien et immense manoir. Le jardin semblait noyé sous les mauvaises herbes et les fleurs étaient étrangement démesurées, faisant parfois presque 1 mètre de haut. Des statues, qui représentaient des monstres mythologique figés dans des postures inquiétantes, comme tordu de douleur, étaient recouvertes de lierre et de mousse. La plupart était tombées, faisant trébucher les visiteurs qui osaient s'aventurer dans ce jardin à l'abandon. Mais ce qui était le plus majestueux et le plus étrange, c'était la maison. Elle était faite de pierres noirâtres, qui donnaient l'illusion de pouvoir s'écrouler d'une minute à l'autre. Les volets, à demi pourri par l'humidité, claquaient bruyament contre les fenêtres, hélas toute brisées. Il manquait bien des tuiles sur le toit, et par ce temps pluvieux, le grenier devait sûrement être inondé, s'il y en avait encore un. L'immense porte, qui interdisait l'accès à l'étrange demeure, était verrouillé par des chaînes rongées par la rouille et solidement fermée par un cadena .. Sans serrure. Mais le manoir du 7 Hope Street d'égageait, malgré son aspet délabré et peu engageant, encore une effrayante noblesse. Au loin, les douze coups de minuit résonnèrent dans Hope Street, et dans le manoir, Diana Loe ouvrit les yeux. Tremblante et cherchant à reprendre son souffle, elle repoussa ses couvertures et sortit du lit où elle s'était installée quelques heures plus tôt. Elle entra dans la salle de bain à tatons, et appuya plusieurs fois sur l'interrupteur, sans résultat. Poussant un long soupir, elle s'observa dans la glace grisâtre et ternie de poussière. Ses joues pâles contrastaient étrangement avec ses long cheveux noir corbeau, et ses lèvres rouges mettait en valeur sa beau blanche. C'était une très belle femme, mais à seulement l'approche de la quarantaine, les soucies l'avait déjà rongé et des rides montrant son stress barraient son front. Elle ouvrit le robinet et se passa un peu d'eau tiède sur le visage. Elle sortit, hésita quelques instants et se dirigea finalement vers le couloir. Diana n'arrivait pas à se résigner de de retourner dormir dans cet immense lit froid et dur. Elle descendit l'escalier lentement, sentant les marches grincer à chacun de ses pas, serrant la rampe au point que ses jointures devinrent blanches. Elle avait tellement peur que l'escalier lâche et qu'elle se précipite en bas, se brisant la nuque. Arrivée en bas, elle fut acceuillie par une chienne, un berger allemand, qui contrairement à son habitude, ne vint pas lui lécher les mains en lui faisant la fête. Elle se cacha derrière la jeune femme en gémissant. Diana se dirigea en levant les yeux vers la cuisine, et ouvrit le frigo, qui produisit une étrange lueur orange dans la cuisine sombe. Attrapant une canette de bière, elle l'ouvrit dans un léger "ploc" et but longuement, coup sec. La reposant, à présent vide, elle chercha des yeux autre chose. Elle avait soif, mais ce n'était pas de l'eau qu'elle voulait boire. Non, c'était quelques choses qui allait vraiment étancher sa soif. Pas comme cette bière qui lui avait enflammé le gosier. Avisant un fond de bouteille de vin blanc, donc elle ne se souvenait pas d'avoir liquider, elle l'attrapa et la finit. La faisant valser dans la poubelle avec un bruit mate, elle sortit et entra dans la grande bibliotèque. Diana ouvrit la porte du buffet et attrapa une bouteille d'un liquide brun. Elle le gouta, et apparament satisfaite, elle la finit entièrement. Soul, comme tout les soirs depuis l'emménagement dans cette maison, elle sortit et baissa les yeux et frémit en remarquant des taches de sang sur le parquet. Fronçant les sourcils, elle les suivit, et Aneik se mit à gronder doucement. Dans le salon, un homme se tenait debout, immobile, regardant par la fenêtre le paysage de désolation qu'offrait le jardin. Diana s'appuya contre la porte pour ne pas perdre l'équilibre et demandant d'une voix rauque : "Vous faîtes quoi chez moi ? Z'avez pas vu la pancarte ? Propriété privé qu'elle dit !". La femme eut un léger hoquet et loucha étrangement. L'homme se retourna. C'était un homme qui devait avoir seulement une trentaine ou une quarantaine d'année (Diana voyait tout un peu flou, et n'arrivait pas à le distinguer précisement). Il avait les cheveux bruns. Ou roux. Ou blond. Impossible de voir. Comme il ne semblait pas vouloir lui répondre, elle hurla : "Sortez d'ici ! Je ne veux pas d'étranger chez moi, je vous préviens ... ". Sa voix s'éteignit dans une quinte de toux, et il s'approcha d'elle. Les yeux vitreux, elle essaya de crier en sentant sa main sur la gorge, une main froide et inerte, mais elle n'avait plus de force. Elle s'écroula à terre et n'entendit, du monde qu'elle allait quitter, que le hurlement de sa chienne Aneik, et le rire diabolique qui s'échappait des lèvres de l'inconnu.

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Chapitre 1 : Le retour d'un tueur

L'agent spécial Carter regarda avec lassitude par la fenêtre où se déposait quelques flocons qui finissaient par former une fine couche de gel. Il essayait d'apercevoir un rayon de soleil ou une faible éclarcie dans le ciel obscur. Mais dehors, la tempête faisait rage, et la température avoisinait les -20°. Un record, comme avait annoncer le présentateur de la météo au peuple New Yorkais. Mais il y avait fort à parier que toute les personnes étant allées travailler ce matin là se serait bien passer de se record. Carter se rassit lentement dans le fauteuil et baissa les yeux vers un dossier composé de photos, de texte, de lettres, des fichiers, des télégrammes, des feuilles écrites à la va-vite par le medcin légiste. A côté de lui, un énorme livre à la couverture noir était ouverte à une page. Il poussa un très long soupir, et préféra regarder son bureau. C'était, de loin, le plus beau de tout l'étage, et peut être de tout le batîment. Enfin, il n'en était pas sûr, car il ne les avaient pas tous visités. Une immense baie vitrée donnaient une vue imprenable sur sur Manhattan, juste derrière un bureau en bois d'acajou qui coutait une véritable fortune. Celui ci servait d'étagère pour l'instant, ce dont ce plaignait sans cesse sa femme de ménage :"Voyons Monsieur Carter, un si beau meuble ! Achetez vous des étagères, comme vos collègues !". Il lui souriait gentiment et lui promettait, même si quelques secondes plus tard, tout cette histoire lui était sortie de la tête. Une cheminée en marbre blanc, qui ne faisait pas de feu, pour la bonne raison qu'elle n'avait pas de conduit pour évacuer la fumée. Un feu électrique brulait du matin au soir, et l'agent spécial s'y était habitué. Le bureau où il était gris, très design et coûtait plus de mille dollars, il le savait pour avoir penser à acheter le même à sa femme ... Avant de reculer devant le prix. Carter avait passé la nuit penché au dessus de ce dossier, et ne supportait plus de voir du texte défiler devant ses yeux. La pendule sonna alors 7h du matin, et décidant qu'il était l'heure d'aller déjeuner, il se leva et sortit du bureau. Il entra dans la cafétéria, vide à cette heure matinal, la plupart des agents arrivant rarement avant 9h. Il se servit un café brulant, s'assit à une table et versa du sucre. Touillant avec sa petite cuillière, il la posa sur le côté et s'apprêtait à boire une gorgée lorsqu'une voix fluette l'interrompit : "Agent Carter ! Agent Carter ! Je vous est cherché partout ! Je SAIS !". Reposant à contre coeur sa tasse, il leva les yeux vers une jeune femme qui attendait, un sourire un peu niai aux lèvres, ses longs cheveux bruns emmelés comme si elle ne les avais pas coiffé depuis une éternité, ce qui était sûrement le cas. Carter ne se posa même pas la question de savoir se qu'elle pouvait bien savoir, et répondit sèchement : "Agent Smith, il est 7h du matin, je n'est pas dormit de la nuit et je n'ai pas encore bu mon café. Vous vous avancez en terrain risqué". Interdite, l'Agent Mélanie Smith resta quelques secondes stupéfaite, ouvrant et fermant la bouche sans émmettre un son, tel un poisson. Ses joues passèrent de beige pâle à rouge écrevisse et dans un faible murmure d'excuse, elle s'éclispa. Carter se préparait à boire une autre gorgée de son café (à présent tiède), lorsqu'une voix plus aigue l'interrompit : "Agent Carter ? Le directeur au téléphone. Il souhaite vous parler du dossier Loe". Le directeur, comme l'appelait les agent du F.B.I., étaient leur plus haut supérieur, et c'était surtout lui qui donnait les promotions, et les payes chaque mois. Ainsi, personne ne se risquait jamais à le contrarier, ou même à le faire attendre, le risque de voir son chèque du mois diminuer de 50% était optimal. Mais l'agent Carter souhaitait seulement boire son café, et commençait à se sentir irriter. D'une voix désinvolte, il répondit : "Je n'ai pas fini. Dite lui que je le rappelerai quand j'aurai le temps.". La secrétaire resta muette de stupeur, comme l'agent Smith quelques minutes plus tôt. Ce fut un hurlement étouffé qui montait du téléphone qui la rappela à l'ordre. "Il vous rappelera quand il aura le temps". Elle reposa le combiné sur son socle pour être sûr de ne pas subir les foudres du directeur. Elle ignora superbement les sonneries stridentes, et commença à classer des dossiers. L'agent Carter approcha la tasse de ses lèvres, jeta un coup d'oeil soupçonneux à droite, puis à gauche, et vérifia derrière lui que personne n'était là pour l'empêcher de boire enfin son café. Il s'apprêtait à boire une gorgée, lorsqu'un jeune homme entra en coup de vent dans la cafétéria et posa la main sur l'épaule de Carter en s'écriant : "Agent Carter ! Vous êtes l'homme que je cherchais". Reposant bruyament sa tasse, il se tourna vers le nouveau venu et le détailla rapidement. Il portait une blouse blanche et des gants en plastique, et trainait derrière lui une odeur .. Pas très nette. Respirant doucement pour ne pas sortir de ses gonds et assomer violament l'assistant du medcin légiste, il répondit : "Quoi, ENCORE ? N'ai-je pas le droit de boire mon café ? Vous souhaitez que je sois en manque de caféïne ? Je vous préviens, la dernière fois que c'est arrivé, quelqu'un a fini à l'hopital pour 3 mois. Vous êtes PREVENU ! Que me voulez vous ?". Avalant difficilement sa salive, un sourire forcé au lèvres, stoïquement, le jeune homme s'éclaircit la gorge et Carter sentit des pulsions meutrières lui frôler l'esprit. Si il ne disait pas tout de suite ce qu'il allait à dire ... Les agents du F.B.I. allaient avoir un autre dossier de meutres à s'occuper et l'asile un nouveau patient ..."Le medcin légiste m'a chargé de vous dire qu'il y avait du nouveau dans le dossier de Diana ....". Mais il ne put finir sa phrase. L'Agent Carter, ayant jeté rageusement son café (glacé) dans la poubelle la plus proche, se dirigeai à présent à grand pas vers les ascenseurs en marmonant des phrases si vulgaires que l'assistant sentit le rouge lui monter au joues. Il dut courir pour rattraper l'agent Carter qui semblait essayer de battre le record de vitesse de marche à pied. Il eut juste le temps de se faufiler entre les portes de l'ascenseur avant qu'elle ne se referme derrière eux dans un claquement métalique.

{Le chapitre 1 n'est pas terminé}

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Ajout de l'épilogue et du début du chapitre 1 de JTR

Merci